Le Sommet sur le gaz est coprésenté par le Forum des Politiques Publiques et McCarthy Tétrault.
ÉVENEMENT PAR INVITATION SEULEMENT
Dans un monde à la recherche d’approvisionnement en énergie propre, les gisements de gaz naturel du Canada continuent d’intriguer les investisseurs internationaux. Les entreprises énergétiques mondiales considèrent les champs du Canada comme l’une des sources d’énergie les plus attrayantes dans un monde en décarbonisation – propres, abondants et sûrs.
La demande mondiale de gaz naturel liquéfié (GNL) et de ses dérivés, comme l’éthane, le propane, le butane et l’hydrogène, est sur la voie de la croissance. Le GNL est un moyen à faible émission de carbone pour les pays de sortir du charbon et de fournir de l’énergie à leurs citoyens dans le cadre de la transition mondiale vers le zéro émission nette d’ici 2050. À une certaine époque, le Canada était considéré comme un endroit idéal pour investir, et plus de 20 projets étaient sérieusement évalués. Le Canada a pesé de tout son poids dans la phase 1 du projet LNG Canada de 40 milliards de dollars à Kitimat, en Colombie-Britannique, l’investissement autonome le plus important de l’histoire du Canada. Avec une fenêtre d’investissement à nouveau ouverte, la question est de savoir si le Canada accueillera d’autres projets ou s’il prendra un laissez-passer alors que le reste du monde se précipite pour répondre à la demande mondiale ?
Le gaz, l’une des rares mégasources d’investissements étrangers, occupe une place inhabituelle dans la transition énergétique. Il est considéré à la fois comme faisant partie du problème du carbone et de la solution de la décarbonisation. Le gaz canadien jouit d’un avantage important en matière de faibles émissions de carbone par rapport à ses concurrents en raison de son état relativement propre à la sortie du sol, de la réglementation rigoureuse sur le méthane et du fait que la production de GNL de la Colombie-Britannique au Labrador peut être alimentée par une hydroélectricité sans carbone. Les producteurs de gaz canadiens électrifient de plus en plus leur production dans les champs et se rapprochent de zéro émission nette.
Le gaz canadien représente une ressource non reproductible de classe mondiale qui peut remplacer les émissions provenant de solutions de rechange plus riches en carbone, affaiblir les mains d’acteurs géopolitiques peu fiables comme la Russie et libérer des avantages ESG tout au long de la chaîne d’approvisionnement pour nos partenaires commerciaux. Le gaz propre associé à la capture du carbone confère au Canada un avantage précoce dans le maintien du zéro émission nette dans la course vers un avenir alimenté par l’hydrogène.
Quelle histoire du gaz le Canada souhaite-t-il avoir?
LNG Canada évalue la possibilité de passer à la phase 2. La société énergétique malaisienne Petronas a investi dans des réservoirs gaziers canadiens en vue d’importer du GNL canadien en Asie. D’autres projets sont proposés. En outre, presque tous impliquent des partenariats avec des Canadiens autochtones. La Première Nation Haisla, en Colombie-Britannique, est passée à l’étape de la faisabilité de l’initiative CEDAR LNG, appartenant à des Autochtones, et d’autres Premières Nations, de la Colombie Britannique au Labrador, ont conclu des ententes pour aménager leurs entrepôts de gaz alors qu’elles cherchent à renforcer leurs bases économiques en tant que nations souveraines. Ils veulent ces projets, et ils veulent qu’ils soient développés d’une manière écologiquement durable et conforme à leurs valeurs.
Le Canada ne veut pas se tromper sur le gaz. Les enjeux sont élevés pour le pays, pour les Premières Nations et pour le bien mondial. Il est temps de pleinement diffuser aussi bien les problèmes que les opportunités.
Le Sommet sur le gaz est coprésenté par le Forum des Politiques Publiques et McCarthy Tétrault.
Membres de la Table de travail sur le gaz : ARC Resources, Enbridge, CIBC, FortisBC, McCarthy Tétrault, Petronas Canada et Shell Canada.
Avec la contribution du Business Council of British Columbia.
POLITIQUE DU FPP RELATIVE À LA VACCINATION CONTRE LA COVID-19
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